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novembre 22, 2007

Gab

J'étais au cégep, j'avais beaucoup de temps devant moi, beaucoup de devoirs aussi. J'étais assise à la caf plutôt qu'à la petite caf, pour changer d'air un peu. Puis il y a plus de monde aussi, plus de chose à voir, plus à écouter. Je savais que je perdais du temps à travailler ainsi, j'aurais du me concentrer sur mes devoirs. Mais, j'aime le bruit, j'aime quand il y a du monde autour.
J'aime les places bondées, comme ça tu peux t'asseoir d'un coin et regarder le monde tourner. C'est étonnant tout ce que l'on peut voir et entendre dans ce temps là. Je garde quelques souvenirs de conversation piqué à quelques inconnus, à quelques endroits différents : une salle d'attente, un magasin, une rue, un restaurant, un bus.
Mais je m'éloigne, je parlais donc de ce jour là, dans la caf du cégep, à peut-être 16h00. J'étais assise sur le coin d'une table. Il n'y avait pas beaucoup de monde cette journée là à la caf. C'était peut-être à cause de l'heure. Mais il y avait tout de même un petit groupe à 3 ou 4 tables de moi. Petit groupe, le mot est peut-être fort, c'était 2 filles déjà assises depuis longtemps et un nouvel arrivant. elles parlaient à voix basses depuis le début, de sorte que je n'entendais pas ce qu'elles se disaient. Mais peu après que le nouvel arrivant se soit joint à elles, une des filles a monté le ton et a dit simplement cette phrase : "Gab, il se suicidera pas". C'était dit avec force et conviction. Aussi étonnant que ça puisse paraître, c'était beau à entendre. Ça sonnait comme un cri du coeur. Comme un "je t'aime", lancé désespérément. J'aurais aimé que ce "Gab" soit là pour entendre lui aussi la conviction et l'espoir qu'il y avait sous ce cri. C'était puissant, beau, fort, convainquant, certes on y sentait la peur caché derrière cette élan d'assurance, mais c'est ce qui rendait le tout tellement plus vrai. Je ne pourrais vous décrire à quel point c'était beau, mais vraiment, ça l'était.
Ils ont continuer de parler, mais à nouveau à voix basse. J'entendais des mots par-ci par-là. On y sentait la peur, le désarroi. On sentait qu'ils avaient tout essayer, qu'ils ne savaient plus quoi faire. Je ne sais pas qu'est-ce qu'il advient de ce "gab" aujourd'hui, mais j'espère vraiment qu'avec les amis qu'il a, il a pu s'en sortir.

novembre 12, 2007

les heures

5 heures, c'est long en chien. Même bien entourée, 5 heures ça reste long. Surtout quand t'as rien à faire, pris au cegep, entre 2 cours.
La première heure on se dit salut, on se conte nos fin de semaine. Du monde arrive, d'autres partent, il y a de la nouveauté, quelque chose à dire. Tiens il y a un exemplaire de "la gifle" sur la table.
Deuxième heure. On lit "la gifle", il y a des semaines ou c'était plus drôle. Au moins il y a les jeux. Tiens faisons un concours de sudoku. Je suis vraiment poche au sudoku. Mais j'ai gagné pcq je copiais sur Roux et que celui-ci s'est mis à parler avec Caron, nouvellement arrivé. Moi j'ai continué silencieusement mon sudoku. Il est temps de manger. Certains mangent. Ça donne faim. Je n'ai rien pour dîner. C'est stupide j'ai faim.
Troisième heure. Il y a un con qui s'est fait chauffer un pogo. Ça sent vraiment bon. Surtout que j'ai faim. C'est un vrai supplice. Ce devrait être interdit de manger (faire cuire au moins) des pogos au cegep, pcq que t'aimes manger ça ou non, ça sent bon quand tu fais cuire ça. Quelqu'un vient nous parler pour mettre un sous dans une lettre pour le dégel des frais de scolarité. Elle nous donne l'enveloppe, il ne nous reste qu'à y mettre un sous noir, et à la cacheter. C'est le fun ça permet de vider mes poches de cennes noirs et c'est pour une bonne cause. Daniel arrive, voit les enveloppe et s'amuse à essayer d'y inscrire n'importe quoi. On l'empêche.
Quatrième heure. Plusieurs personnes sont parties à leur cours. On est plus que quatre. On joue aux cartes. Le trou de cul. Jusqu'à ce que Roux parte pour son cours. Il lui reste 7 minutes pour changer de pavillon, chercher le sarrau à born dans la case à born, et aller à son cours. On lui souhaite bonne chance. Il part. On est plus que trois. On joue encore au cartes.
Cinquième heure. On regarde l'heure de plus en plus fréquemment. Au moins on s'occupe. Je me demande comment on a pu se fait réellement bien du fun à toujours jouer aux cartes l'an passé, là ça me semble vraiment long. Quelqu'un revient de son cours. On est à nouveau quatre. On joue au trou de cul. Évelyne est prise d'un fou rire interminable. J'ai toujours pas compris qu'est ce qui était drôle. D'autres personnes arrivent, on ajoute un paquet de cartes et on joue à 7. On finit la game et il ne reste que 10 minutes avant mon cours. On sépare les 2 jeux. Je ramasse mes magnifiques cartes "québec". Je me lève et va joyeusement vers mon cours.
Après 5 heures à attendre que ton cours commence, il est tout à fait légitime d'être heureuse lorsque celui-ci commence enfin.

octobre 20, 2007

Traumatisme

J'ai voulu manger un ficello tantôt. Je l'ai ouvert. J'ai pris une bouchée. Ça sentait le fromage. C'était normal. Mais ce à quoi je n'avais pas pensé, c'est que le vomi de Max Caron que j'avais nettoyer hier (ou ce matin) sentait aussi le fromage. L'odeur était si ressemblante que je n'ai pas réussi à le manger en entier. Je l'ai finalement jeté. C'était la première fois qu'un ficello me donnait des nausées.

19 octobre

Il est 9h00, P-O, Maxe, Roux et LeBorn arrivent chez nous pour jouer à la Wii avec Dan. C'était vraiment très drôle, en plus on a eu l'idée de les filmer pendant qu'il jouait. Les regarder boxer était très drôle. LeBorn sur le divan à coacher P-o, ahah! Vraiment c'est le meilleur bout du vidéo! Faudrait faire une compilation des bouts drôles, on se ferait bien du fun à regarder ça.

Vers 11h45 on s'en va tous chez émilie, pour son party de fête.

Maxe a déjà sorti du fort et s'en donne à coeur joie avec PatD, quelques gars inconnus jouent au poker. Vlyne s'amuse avec son kodak. D'autres monde arrivent, c'est le fun.

La soirée avance, Max Caron, que je n'avais pas remarqué depuis le début de la soirée, trouve un bon moyen pour qu'on le remarque tous et "décide" d'être malade. Il avait mangé de la poutine... On voyait très clairement les frites (qui étaient des frites ondulées), le fromage et la sauce. C'était simplement dégueulasse. J'ai tout de même nettoyer cela avec Boutch.

Le temps passe, puis c'est au tour de PatD de mal feeler. Mais lui essaie d'être discret et reste dans son coin. Quelqu'un le remarque et monte avec dans la salle de bain du haut. (celle du bas étant occupé par Max Caron)

Maxe est vraiment parti. On se doute tous qu'il sera malade plus tard, mais pour l'instant il va bien. Il s'amuse un peu trop même et brise un verre à shooter.

Dan et LeBorn, qui n'ont rien bu, sont les plus drôle. Ils chantent et dansent, se couchent dans les marches, jousent à la chaise musicale...

Ils décident de faire jouer du Allan Théo. Je monte en haut et parle avec Léo et la mère à Émilie et un gars dont je ne me rapelle plus le nom. PatH, Marie et Léo vont au Tim. Je vais avec eux. PatH et moi on se prend de quoi manger. Tout juste quand Pat reçoit son muffin et son jus, quelqu'un l'appelle. Anna a besoin de ses pompes, elles sont chez Drée. Pat et Marie partent disant qu'ils reviendront.

Léo se prend aussi un muffin. On mange en attendant les autres. C'est long, on parle aussi. Ça fait 25 minutes qu'ils sont partis, on les trouve vraiment lents. 35 minutes... C'est toujours long. 45 minutes, on commence à se dire qu'ils nous ont oubliées. 50 minutes, un char arrive enfin avec Boutch et Marie dedans. On va les rejoindre. Boutch nous apprend que Pat et Marie nous avaient effectivement oubliés. C'est Cathe qui en demandant à Boutch où j'étais à fait remarquer à Boutch que nous étions encore au Tim. Merci Cathe ;) et Boutch aussi d'avoir compris que c'était vraiment pas correct de nous laissé là même s'il y avait beaucoup de malade chez Émilie.

Je reviens finalement chez Émilie, le pire est passé. PatD n'est plus là. On m'apprend qu'il est parti en ambulance. PatH, Marie et Vlyne ont été reconduire plusieurs personnes chez eux. Çal'a détendu l'atmosphère. Après quelques temps tout les malades sont partis. Je n'ai presque rien fait pour aider les autres à s'occuper d'eux, mais ce n'est pas de ma faute, car c'est dû au fait qu'ils m'ont oubliée!

Les malades sont partis, mais ça pu quand même. C'est pas grave. Ceux qui sont encore chez Émilie sont tellement fatigué, qu'ils dorment déjà. Je m'endors aussi.

Le matin en me réveillant, il faisait froid. C'était la maison qui se faisait aéré. Ça puait partout dans la maison. Max Caron se réveille. Il est vraiment très drôle à regarder!

Malgré tout ce que les autres en disent, n'ayant pas été présente dans le pire moment, alors que ce n'était pas de ma faute. Je peux dire que je me suis amusé. Et qu'aujourd'hui j'en ris en me disant que quelques personnes ont dû trouver leur journée longue.

octobre 06, 2007

Tribulation autour de James Blunt

Un soir de cette semaine, je ne pourrais dire lequel exactement, j'étais assise à la table aux côté de Dan et il y avait un journal devant nous. Je n'avais rien à faire et mon regard s'est posé sur le journal, ouvert à une page de publicité pour le nouvel album de James Blunt. Je remarque que la photo de James Blunt sur l'album est en fait une mosaïque. Je fais donc part de ma "découverte" à Dan.

Val : En, Dan! C'est drôle, c'est une mosaïque. (Me penchant sur la photo) Est-ce que ce sont tous des personnes sur les petites photos (Formant la mosaïque)
Dan : (Regardant aussi avec attention la photo) Celle-là est pareil à celle-là. Je suis fort, j'ai réussi à le voir.
Val : J'allais justement te demander si certaines photos se répétaient ou si c'était toujours des photos différentes.

Et nous continuâmes à dialoguer ainsi.

Aujourd'hui ma soeur me parle d'un rêve qu'elle a fait. Je lui dis que j'ai aussi rêver et quand plus elle était dedans, elle m'avait frustrer. Je me suis réveiller en me disant que ma soeur était vraiment méchante pour me rendre compte après que j'avais rêver. Mon frère dit alors qu'il a aussi rêver que c'était bizarre. Que lui et moi étions en train de regarder l'album de James Blunt et qu'on commentait les photos formant la photo. Il dit que c'était idiot.

Je le laisse terminer et lui dit qu'il n'avait pas rêver qu'on avait vraiment fait ça. Il était tout mêler c'était drôle. En plus, il croyait que je le niaisait. Il a fallu que je lui répète notre conversation pour qu'il me croit!

août 20, 2007

Dernièrement j'ai lu le livre : Ma vie avec Mozart, d'Eric-Emmanuel Schmitt. C'est un auteur que j'aime bien. J'ai aimé le livre. Il inclut un CD des plus grands morceaux de Mozart qui s'écoute tout au long de la lecture, la musique entre dans le livre, fait partie de celui-ci. C'est une idée fort original que j'ai apprécié et c'est ce qui rend le livre bon. Sinon, il semble peut-être un peu long. On a de la difficulté à cerner l'histoire, il ne semble pas y avoir aucune forme d'intrigue. On finit par penser que le livre a été écrit pour que les lecteurs apprennent à apprécier Mozart et non pour leur conter une histoire. Pourtant, le livre se lit bien et il faut certainement lire le livre toute d'une shot pour l'apprécier. À mon avis si on l'étire trop on finit par ne plus vouloir le continuer. Ce serait tout de même dommage.
Toute cette intro servait simplement à vous présenter la citation suivante, qui provient de ce roman.
"Avons-nous été angoissés de naître? Je ne m'en souviens pas.
Ce matin, je songeais à un bébé accoudé au balcon de l'utérus. Que penserait-il s'il contemplait, à l'avance, le spectacle de l'existence qui l'attend en dehors du ventre? Peut-être serait-il horrifié par certaines horreurs? Ou tenté par les splendeurs du monde?
Fort heureusement, clos dans les murailles chaudes du flanc maternel, il n'imagine même pas."

août 11, 2007

Quelle famille!

Hier il y avait deux partys qui se déroulait en même temps: un chez MPGlue, l'autre chez Roux. Daniel et moi, question d'avoir un oeil partout et de pouvoir savoir exactement tout ce qui se passait ce soir là, avions décidé de se séparer. Dan étant chez Roux, moi chez MPGlue. (Ok, en vrai c'est juste arrivé ainsi et on ne s'est même pas vu ni parlé avant que nous nous retrouvions le soir à la maison à la fin de la soirée.)

Chez MPglue, je m'occupais fièrement du feu. Étant la seule qui se faisait autant de fun à rajouter du bois dans un feu et à réussir à en tirer de la fierté, les autres m'ont simplement laissé faire. Mais il faut avouer qu'il était beau, je devais sans cesse me retenir de rajouter du bois, car les autres se plaignaient qu'il était trop chaud. Le feu se faisait d'un foyer, et j'étais déçu de ne pas pouvoir en faire le tour et jouer avec le feu à mon aise. Je me contentai donc du devant du feu, faisant peut-être, quelques fois des manoeuvre un peu plus risqué. Je me value le nom de Pyromane (et non Nymphomane)

Chez Roux, Dan, ayant déjà démontrer ses talents de Pyromane, n'avait plus rien à prouver et pouvait bénéficier de son droit d'exclusiviter sur le feu.

Bref, peu importe où vous seriez allé ce soir là. C'est un Massé qui s'assurait du vous faire un beau gros feu!

août 07, 2007

Petite fringale

On est au cinéma, Dan, ma soeur et une amie. On regarde Harry Potter. C'est sa première journée en salle donc il y a pleins de monde. On est assis dans la troisième rangé, on voit pas très bien, il y a du monde à notre gauche et à notre droite. Je suis assise à gauche dan à droite et ma soeur et l'amie sont entre nous deux.
Le film commence. Quelques deux heures et quart plus tard, il termine.
On se lève, on sort de la rangé vers la droite, dan à l'avant, moi en dernier. Mais tout juste avons nous un pas de fait que celui-ci s'arrête, se penche devant le banc de son voisin parti un peu plus tôt, et... se relève avec un sac de pop-corn à moitié entamé en main.
Nous sommes trois à le regarder avec un expression de dégoût teinté de surprise et d'amusement et d'impatiente attente de voir ce qu'il fera de ce sac. Attente bien vite comblé puisqu'il se prend aussitôt une poignée de pop-corn qu'il porte nonchalamment à sa bouche.
L'amie : Ark!
Dan : Bin quoi! Ils arrêtaient pas de m'en offrir. Pis ils étaient bin gelé en plus.
Il avance un peu et arrête voyant qu'on ne le suit pas. On le regarde toujours avec un face de dégoût pas vraiment rassuré de ses explications, il poursuit.
Dan : Ils m'en avaient offert deux ou trois fois durant le film, je leurs ai dit non. Plus tard le gars à mes côté a mis le sac par terre car ils n'en voulaient plus. Son ami lui a demandé pourquoi il ne me l'offrait pas. Il a répondu que je n'en voulais pas, mais sachant qu'ils le jetterais... je l'aurais accepté.
Nous trois : Ah!
Cette fois, l'amusement prend le dessus et nous (ma soeur, l'amie et moi) rions à pleine gorge lorsqu'on se décide enfin à quitter la salle. Daniel mange toujours son pop-corn comme si c'était réellement le sien. On lui demande s'il va tout le manger. On se moque de lui, on rit. Sans doute un peu tanné de nous voir se moquer ainsi, il en mange encore un peu et jette le reste à la sortie du Biermans.

juin 05, 2007

Les trépidantes aventures de Roux au pays des vestons-cravate: La Suite de La suite! (enfin!)

Dans le bureau empli de plantes, d'aqurium et de dossiers, on m'invite à m'asseoir. Je suis à une table ronde, à ma gauche se trouve un homme aux traits jeunes, cheveux frisés poivre et sel. Devant lui, un tas de feuilles et un stylo, il ne s'en est visiblement pas servi, les feuilles sont blanches et le stylo à bille n'a pas de trace d'encre près de l'embout. À ma droite un autre homme, chauves et aux traits plus âgés, celui-ci avait plusieurs notes de prises sur la feuille qu'il tourna dès l'instant où mon regard se posa sur la feuille. Le chauve prit d'abord la parole : " Tu sais pourquoi tu es présent". Sans réfléchir , je rétorque : "non". Il me pose alors des questions et note des éléments de réponses durant plusieur minutes. Il me fait croire que mes amis ont parlé. mais je sais que non. Il me dit que je mens, me menace de porter le tout en justice, masi je ne cède pas. Il en a marre et décide d'en finir avec moi, il se lève et m'ordonne de le suivre, il m'emmène à la salle Raymon-Langevin où il me dit d'attendre. Trente minutes plus tard, il revient dans le bureau et me dit de continuer à le suivre. Je lui demande si je peux avoir mon sac, il refuse. Il m'emmène derrière le bureau de Rosanne où il me fait attendre une heure, m'emmène manger, puis me fait attendre trois heures avant de me faire part de sa décision et de me faire rencontrer mon père. Finalement, après unee journée d'horreur, je suis libéré par mon captif.

Voilà qui marque la fin des trépidantes aventures de Roux au pays des vestons-cravate!

mai 23, 2007

Les trépidantes aventures de Roux au pays des vestons-cravate: La Suite!

Hier nous avons appris comment l'homme mystérieux est venu me quérir durant un cours de chimie pour me dicter de le suivre. Voyons maintenant la suite si attendue!

Comme il m'e demande de le suivre, je m'exécute sans question. Nons descendons un lot d'escalier, puis en remontons un autre. Il tourne à droite, je le suis. Ayant déjà eu affaire à lui, je savais que son bureau se trouvait à gauche. Pourquoi alors m'emmener à droite? Ma question a été bien vite résolue quand il s'est arrêté devant une salle où il m'a prié d'entrer.

Devant moi, Lunetteman se trouvait assis en pleine partie d'échec contre sa main gauche (la main du mal)*. Monsieur Cravate m'invite à m'asseoir juste avant de disposer en compagnie de François. Je me demandais quand il allait revenir. Une minute passe...une autre...encore une...Qu'est-ce qu'il fait? Après une bonne dizaine de minutes d'ennuie, je me lève et vais chercher le jeu d'échec. Je m'affronte dasn un duel de Titan! La Droite contre la gauche! Le bien contre le mal!**

J'allais pousser les noirs à capituler à l'aide de ma reine et d'un cavalier quand je vois, sur le seuil de la porte, les deux hommes revenus de leur balade en terrain inconnu. L'homme Cravate dicte alors, en regardant l'autre nouvel arrivant : " Les échecs ne sont même pas une option". Il m'invite ensuite à le suivre de nouveau en laissant derrière nous Lunetteman. Nous entrons dans un bureau et...

Vous saurez la suite demain!

* Bien qu'apparaîssant sur le blog de val, celle-ci n'approuve nullement ces dire.
** Encore une fois val n'approuve pas.

mai 22, 2007

*Exclusivité* Un texte unique d'un membre de la défunte direction* (c'est à dire Marc-Antoine Corriveau ou Roux)

Les trépidantes aventures de Roux au pays des vestons-cravate! (Ceci est une histoire vrai)
Notre histoire a pour lieu, le séminaire Sainte-Marie en date du 30 Avril 2007.
Jacques nous donne un cours dont lui seul a le secret pour mêler l'ennuie et le sentiment si particulier qui envahit notre corps et nous empêche d'éprouver une envie de dormir. Il reste près de 15 minutes au cours quand je décide de me divertir en barant, à la maniere d'un prisonnier, les minutes restantes au cours. 12...11...8... Puis, comme je vais pour barrer le 7 et me dire une fois de plus qu'il s'agit d'un chiffre magique, Jacques interrompt son cours pour répondre à un visiteur qui se tient visiblement au pas de la porte. Jaques se retourne vers moi et me dit les paroles qui allaient changer l'image que j'avais a jamais: «Mark va a porte».

Je me lève d'un bond en me demandant qui me sauvait ainsi d'un cours sur les moles. En tournant le coin je l'apperçoit, son crâne luisant, ses grands yeux vides, sa cravate bien serrée et sa chemise toujours bien boutonnée et dans son pantalon. Sa première réaction: «Tu ne porte pas tes pantalons d'uniforme?» Je lui répond en bafouoillant: «je...heu ils sont dans ma case, jai échapé du pudding dessus ce matin et je les ai lavés, ils sèchent actuellement dans ma case.» Je pense: quel habile menteur je fais. Quand il me dit: «vient avec moi». Je sais que jai commis une faute et qu'il est décidé a me la faire payer.

Quelle faute ai-je commise? Qu'adviendera-t-il de mes pantalons? Comment me la fera t'il payer? Vous aurez toutes ces reponces demain dans la suite des trépidantes aventures de Roux au pays des vestons-cravate!

mai 13, 2007

Recette pour un thé réussi

-Prendre une tasse
-La remplir d'eau
-Mettre un sachet de thé dans l'eau
-Faire chauffer le tout au micro-onde jusqu'à ce que ce soit assez chaud

Bon, là vous vous demandez pourquoi je vous dit ça. Eh bien, imaginez-vous donc que ce matin mon père a réussi à oublier de mettre l'eau. Il a sorti sa tasse et le sachet était sur le point de prendre en feu, il boucannait vraiment gros et une douce odeur de thé brûlé parcourait toute la maison. Bref, l'eau est primordiale si vous voulez boire du bon thé! N'essayer pas du thé sans eau!

mai 02, 2007

Réflexion de bus

Je rentre dans la bus, Daniel est devant moi et devant lui il y a Éli. Les bancs du fond sont libres et elle semble prise par un soudain dillemme. C'est long, je ne comprend pas trop ce qu'il y a de difficile à choisir entre le banc de gauche ou de droite. J'attends tout de même patiamment derrière Dan. Éli porte alors ses réflexions à haute voix.

Éli: Le matin le soleil est à gauche faque là... (pause de réflexion, léger mouvement de bras immitant celui du soleil) Il devrait être à droite... donc je vais m'asseoir à gauche... (elle ne semble toujours pas sûr de ses calculs mais s'asseoit tout de même à gauche)
Dan, sceptique: T'es sûr? (réfléchi un peu puis s'asseoit dans le banc tout juste devant Éli)

Je m'asseoie donc dans le banc libre à droite.
La bus part et Dan semble encore pensif. Quelque secondes plus tard...

Dan: Oh non! Éli! Le soleil a changé de place, mais la bus aussi! On fait le chemin inverse!
Éli: Merde! Ça veut dire que le soleil est encore à gauche! On vient de se faire fourrer! Ah! Je vais encore avoir le soleil dans les yeux!

avril 27, 2007

Road Trip!

J'ai passé la soirée chez emilie avec drée et marie. On s'est fait un road trip à trois-rivières. Après un long bout à marcher dans le centre-ville et à chercher quoi faire, on a finalement décidé de s'arrêter au parc. Tout comme on marche pour aller s'asseoir, on voit une gang de gars pour qui la soirée est déjà bien avancée... On décide donc d'aller s'asseoir un peu plus loin. En passant je les entend nous regardere et se faire des commentaires, je me dis que ce ne sera pas long que nous allons avoir de la visite. Mais on s'asseoit quand même, et on commence à jaser tranquillement de tout et de rien. Environ 10 minutes passent, nous avons oublier leur présence...
Un gars arrive tout à coup et nous demande d'un air perdu : "Mais qui est derrière le buisson"
Moi, drée, milie et marie en coeur : "...." (avec une face weird)
Le gars : " Salut! (tend sa main vers moi, elle est tout salle, c'est dégueux) Je suis (placer un nom quelconque ici, je l'ai oublié)
Nous : "..."
Le gars tend toujours sa main vers moi, j'abandonne et la serre. Il continue sa tournée et tend sa main vers Marie. Tout comme celle-ci arrive pour lui serrer la main il semble avoir un flash et décide qu'il est temps qu'on se présente. Il revient donc à moi et me demande mon nom en plus d'une autre poignée de main! Je lui dit tannée et lui serre la main dégoutée. Finalement milie eut la décente idée qu'il était temps qu'on parte.
Alors on se trouve une excuse pas crédible, et on se lève et part. J'entend alors un de ses amis derrière crier : " Je te l'avais dit de pas aller les voir tout de suite! T'es a fait fuir là! Tu leur a fait peur!" L'autre essaie tant bien que mal de se défendre. Je n'ai malheureusement pas pu entendre la suite de leur astinage car nous étions rendues trop loin... N'empêche que c'était très drôle!

avril 18, 2007

Anecdotes de montage!

Hier Daniel et moi sommes restés à l'école pour faire le montage de notre film "l'intemporel" et après environ 4h00, on peut dire que le montage est pas mal avancé (en vrai il faut juste que les gars du festifilm viennent arranger le tout). Le film dure environ 6 minutes, il est fantastique j'ai hâte de le présenté à la finale régionale. Avis à tous : le 4 mai vous êtes au séminaire et vous regardez notre film!

D'après le titre vous avez le droit à quelques anecdotes, j'arrête donc immédiatement la promo pour vous contez ces anecdotes.

Mise en situation : Séminaire ste-Marie, une heure quelconque entre 5h00 et 8h00, Daniel et moi faisons le montage de notre film. Nous sommes seuls dans le bureau de Pierre, celui-ci étant parti vers 5h00. Nous sommes là depuis 4h00. On commence à trouver ça long et avons hâte d'avoir fini. On a déjà la partie un de notre film de mis en ordre, on en est à la fin de la partie deux (notre film en comporte 5).

Daniel: Bon l'autre scène, la 2.13 est placé où sur la cassette environ?
Moi: attends là, je la cherche... c'est la scène où il revient chez lui ça?
Daniel: Ouais.. me semble...
Moi: On a tourné ça chez nous? Elle est sensée être noté sur ces feuilles là! (fait le tour de nos feuilles où sont notés les time code environ 5 fois) Je la trouve pas!
Daniel: Bin là est sensé d'être là. (Regarde sur l'ordi, cherche la scène) Coudonc on l'a tu vraiment filmé cette scène là?
Moi: Bin, il me semble... ce serait con de l'avoir oublier... (commence sérieusement à m'inquiéter, regarde la feuille d'horaire de tournage, la scène 2.13 n'est pas notée, nous avons tout simplement oublier de la tourner!) Oh non!
Daniel: Merde! On est bin con! (Hésite entre rire ou être désespéré)

Finalement on a pris une scène ratée d'un autre scène du film, et ça ne parraît même pas dans le film... Mais maudit qu'on a eu peur!

Autres anecdotes: Nous avions une vieille cassette de Pat et il arrivait régulièrement qu'entre deux scènes on trouve quelques autos se promener! Heureusement nous les avons toutes enlevées!

Finalement, lorsqu'on tournait, on ne se préocupait pas du son car celui-ci ne fait pas parti du film étant donné qu'il est narraté. Cependant, en regardant les scènes dans le montage avant de les mettre en ordre, on entend le son pris en filmant. Et dans une scène, dans la rue, alors que Dan était un figurant et que Vale filmait, on peut entendre celle-ci ce facher contre Dan qui part à marcher bcp trop tôt. Elle crie "NON Dan!!" d'un air si découragé et fâché à la fois... que nous l'avons réécouté plusieurs fois!

avril 09, 2007

Party chez Drée

Super soirée. Vive le vérités/conséquences sans vérités ou pour Pat les "défis".

Marie t'étais vraiment hot quand t'as pogné Sam pour l'ammener sur le divan, décidément tu mérite le : "Marie la cochonne"!

Dan et Roux.... c'était simplement dégueux....

Je suis désolée de pas avoir réussi à convaincre Pat D de jouer. J'ai raté mon défi :( En plus, je l'ai fait fuir.

Drée t'es trop forte au Poker.

Et désolé de tel l'apprendre P-O, mais décidéemnt t'es pas un très très bon danseur... quoi que toi au moins t'es game!

Pis, c'était pas mal le fun de parler avec vous les filles à la fin de la soirée!

Ah oui et juste pour toi Marie... Maxe n'est pas roux!

mars 20, 2007

Notre "beau" trophé


En fin de semaine j'étais à un tournoi de curling. C'était un mixte, c'est-à-dire que dans l'équipe il y a 2 gars et 2 filles, je jouais avec dan. Nous avons perdu la première game, nous envoyant dans le pool B. Mais nous avons remporté toutes les autres, ce qui fait qu'on a remporté le B. Nous avons donc ramené de ce tournoi un "beau" trophé que vous pouvez voir dans la photo ci-contre (je sais, il est laid... Mais c'est pas grave pcq au moins, nous, on a ramené un trophé!)

mars 12, 2007

Histoire de roux

Conversation avec Marie, faisant suite au party de samedi passé :
Marie : sté le gars avec les cheveux roux la...
Moi : en??? (avec une face montrant clairement l'incompréhension)
Marie : bin la! le roux!
Moi : ??? (tjrs avec la même face)
Marie : (haussant le ton avec exaspération) Le roux! Y'en avait qu'un c'pas compliqué!
Moi : ...
Drée (qui apparament avait suivi toute la conversation, et qui décide enfin de venir à ma rescousse) : Eee... Marie... c'est parce que y'avait pas de roux...
Marie : En quoi!!!!!!!!!!!! (avec beaucoup de surprise)


Ahah! Je crois que j'ai compris pourquoi habituellement elle ne touche pas à l'alcool ;)

février 18, 2007

Jeu de mots

Ma soeur gardait samedi. Elle a joué sur internet avec la petite qu'elle gardait, à un jeu qui consistait à maquiller et habiller une fille. Il y avait aussi des verres de contact de couleur pour changer la couleur des yeux de la fille.
La petite qui était gardée demanda donc à ma soeur : C'est quoi ça?
Ma soeur : Des verres de contact, ça permet de changer la couleur de ses yeux. Regarde. (Celle-ci prend donc les verres de contact de couleur vert et les met sur les yeux de la fille dans le jeu)
La petite : Ah.. Mais je préfère les bleux de contact!

janvier 14, 2007

Les mésaventures du "pauvre" Daniel!

Fin de semaine vraiment plate. Rien à faire. Rien le goût de faire. Je n'ai donc rien fait. Il n'y a donc rien à conter. Mais, tout comme je cherchais quelque chose à écrire sur le blog, Dan m'a conté une de ses "aventures" de fin de semaine qui m'a vraiment fait rire. Il m'a donc semblé évident que cela devait être conté. Premièrement parce que je n'avais rien de mieux à dire, deuxièmement parce que j'espère vraiment que ça vous fasse rire autant que j'ai rit.

Je laisserai donc Dan écrire quelques mots sur mon blog.

Il a suffit d'un appel pour changer un après-midi à regarder mon père faire le ménage en celle qui allait transformer ma vie. Une invitation, palpitante d'abord, mais qui a rapidement viré en cauchemar! Ce cher M. Brière, membre de La Direction*, a eu l'audace d'inviter le jeune Stéphanois à faire du ski-doo dans son désuet village qu'est Notre-Dame-du-Mont-Carmel. Après une demi-heure de retard, je me pointe enfin à la porte de l'homme qui fût jadis un homme respectable. Tout le monde en voiture, Maxime, Roux et moi partons vers la piste à motoneige: un beau champs à faire les cons! Bien conduit par le conducteur bonifacien, nous arrivons enfin sur le lieu où la mésaventure se produirait...
Un énorme garage renfermant des tracteurs géants, un sea-doo, un véhicule tout-terrain et bien sûr la maudite motoneige nous attendait. On y sort l'objet convoité qui m'avait depuis une heure joué toute ma gamme de bonheur. Une belle mélodie en passant.
On allume le moteur. Le bruit réveille en moi le plaisir de la vitesse; loin de moi l'idée de subir l'humiliante mésaventure qui allait arriver dans quelques minutes.
Nous nous installons tous les trois sur la machine et nous partons vers le champs de neige, avec à bord deux pelles pour y construire le point central du drame. Le vent fouette nos visages, la vitesse pompe notre adrénaline; l'après-midi commence et nous sommes tous fébriles.
On arrête le moteur, on sort les pelles et le jeune rouquin commence la maudite construction. Fatal erreur: je l'aide! À nos pieds, dans l'étendue blanc, une jolie petite bosse se dessine: un beau jump pour des adolescents comme nous (ou plutôt comme eux). Maxime fait le test: un petit saut en résulte, mais c'est concluant, le jump est parfait. Il invite quelqu'un a tenter l'expérience et Roux prend le volant. Il démarre, s'éloigne, revient sur ses pas et s'enligne en direction de la petite montagne de neige. Lentement, il décolle du sol, franchit moins d'une demi-seconde dans les airs et revient sur Terre. Le visage heureux, il me laisse le siège et les commandes. Après avoir vu leur minable vitesse, leur léger saut, leur performance merdique, je compris que je devais aller plus vite!
Je m'installe sur le banc, mon coeur pompe plus vite. Le stress m'envahit, pour la première fois je vais tenter un saut, qui sera bien meilleur que les deux pourris que je viens de voir. Je tourne la clé, le moteur démarre. J'appuie sur l'accélérateur, m'éloigne pour mieux prendre le jump, et m'enligne vers celui-ci, m'enligne vers la catasrophe!
J'appuie davantage sur l'accélérateur, le monde défile autour de moi, je ne vois que la motte de neige, je ne vois que l'exploit réussi! Je fonce, j'arrive à pleine vitesse, le saut sera extraordinaire! Maxime et Roux n'ont que le temps de dire « Il me semble qu'il arrive trop vite », et ils ont raison!
Je quitte le sol à pleine vitesse. Aucune expérience et déjà je tente le tout pour le tout. Aucune technique et je crois pouvoir rester sur le ski-doo. Mais durant ma course aérienne, tranquillement la motoneige tourne. Non, elle ne tourne pas sur le coté, on atterrit avant! Mais moi, ne sachant que je devais me lever pour ne pas subir le choc, je me vois expulser du siège qui me suit à la fois (j'apprends alors que le banc n'est pas fixé). Étendu dans la neige, je vois la motoneige continuer sa course. Une seule pensée m'envahit après cette humiliante défaite: Oups!
Les deux spectateurs que je croyais jadis des bons amis me rejoignent s'exclaffant. Tu es allé beaucoup trop vite! Merci de me le dire maintenant qu'il ne fallait pas aller trop vite. Je me relève, et malgré la honte, je ris en voyant Max courir vers le ski-doo qui s'est immobilisé loin de moi. On le rejoint alors, avec le banc sous mon bras.
Une fois les choses remises en place, Max me dit qu'on devrait aller me chercher un casque, eux qui en portait déjà! Ce qu'on fait. On revient au garage et on profite de l'occasion pour y attacher le trois-skis. Roux, après avoir vu ma témérité, m'oblige à faire le test. J'accepte, histoire de faire oublier la mésaventure! On redémarre, on retourne au champs; moi qui les suis sur le petit véhicule en plastique, je vois le début d'une nouvelle expérience. Je ferai également la connaissance d'un autre cauchemardesque effet de la vitesse.
Arrivé au champs, le conducteur augmente les gaz, j'accélère, retenu par une simple corde. Je connais alors le froid. Le vent et la neige vienne me fouetter le visage. Après un tour du champs, je ne sens plus rien de ma face. Je la protège en mettant mon gant, je tiens alors le volant uniquement d'une seule main. Les risques d'accident se voient amplifiés, et le bonheur du danger aussi! Après ce tour trépidant, on me crie si je veux tenter le jump à bord du trois-skis: je dis oui sans y penser. On enligne alors le motoneige et on fonce!
À nouveau, je sens le froid. La neige jetée par le ski-doo m'empêche de bien apercevoir en avant de moi. Au dernier dixième de seconde, je vois la bosse de neige. Le saut est alors inévitable!
Le trois-skis embarque sur la petite montagne à une vitesse frôlant celle que j'avais atteinte. Tranquillement je glisse du trois-skis, je me tiens alors à fond au volant. Seul mes mains me retiens de la chute (et à bien y penser, si j'étais tombé, je n'aurais probablement rien senti, le corps étant trop gelé). Et continue pour un deuxième tour... et un troisième! Et ensuite, je saute en bas du trois-skis. Je ne sens plus mon visage. Devant la rougeur de ce qu'il reste de ma face, Max m'annonce qu'il serait bien qu'on aille chercher un passe-montagne. Une fois vêtu de ce réchauffe-visage, je me sens enfin prêt à affronter ce qu'il reste de la journée.
Un bel après-midi vécu dans le petit village qu'est Mont-Carmel, merci à Max pour l'invitation;)
Vive le ski-doo, vive la neige et vive les chutes!
Daniel
P.S. Merci Val de m'avoir laissé écrire quelques mots sur cette jolie mésaventure ;)