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août 20, 2007

Dernièrement j'ai lu le livre : Ma vie avec Mozart, d'Eric-Emmanuel Schmitt. C'est un auteur que j'aime bien. J'ai aimé le livre. Il inclut un CD des plus grands morceaux de Mozart qui s'écoute tout au long de la lecture, la musique entre dans le livre, fait partie de celui-ci. C'est une idée fort original que j'ai apprécié et c'est ce qui rend le livre bon. Sinon, il semble peut-être un peu long. On a de la difficulté à cerner l'histoire, il ne semble pas y avoir aucune forme d'intrigue. On finit par penser que le livre a été écrit pour que les lecteurs apprennent à apprécier Mozart et non pour leur conter une histoire. Pourtant, le livre se lit bien et il faut certainement lire le livre toute d'une shot pour l'apprécier. À mon avis si on l'étire trop on finit par ne plus vouloir le continuer. Ce serait tout de même dommage.
Toute cette intro servait simplement à vous présenter la citation suivante, qui provient de ce roman.
"Avons-nous été angoissés de naître? Je ne m'en souviens pas.
Ce matin, je songeais à un bébé accoudé au balcon de l'utérus. Que penserait-il s'il contemplait, à l'avance, le spectacle de l'existence qui l'attend en dehors du ventre? Peut-être serait-il horrifié par certaines horreurs? Ou tenté par les splendeurs du monde?
Fort heureusement, clos dans les murailles chaudes du flanc maternel, il n'imagine même pas."

août 11, 2007

Quelle famille!

Hier il y avait deux partys qui se déroulait en même temps: un chez MPGlue, l'autre chez Roux. Daniel et moi, question d'avoir un oeil partout et de pouvoir savoir exactement tout ce qui se passait ce soir là, avions décidé de se séparer. Dan étant chez Roux, moi chez MPGlue. (Ok, en vrai c'est juste arrivé ainsi et on ne s'est même pas vu ni parlé avant que nous nous retrouvions le soir à la maison à la fin de la soirée.)

Chez MPglue, je m'occupais fièrement du feu. Étant la seule qui se faisait autant de fun à rajouter du bois dans un feu et à réussir à en tirer de la fierté, les autres m'ont simplement laissé faire. Mais il faut avouer qu'il était beau, je devais sans cesse me retenir de rajouter du bois, car les autres se plaignaient qu'il était trop chaud. Le feu se faisait d'un foyer, et j'étais déçu de ne pas pouvoir en faire le tour et jouer avec le feu à mon aise. Je me contentai donc du devant du feu, faisant peut-être, quelques fois des manoeuvre un peu plus risqué. Je me value le nom de Pyromane (et non Nymphomane)

Chez Roux, Dan, ayant déjà démontrer ses talents de Pyromane, n'avait plus rien à prouver et pouvait bénéficier de son droit d'exclusiviter sur le feu.

Bref, peu importe où vous seriez allé ce soir là. C'est un Massé qui s'assurait du vous faire un beau gros feu!

août 07, 2007

Petite fringale

On est au cinéma, Dan, ma soeur et une amie. On regarde Harry Potter. C'est sa première journée en salle donc il y a pleins de monde. On est assis dans la troisième rangé, on voit pas très bien, il y a du monde à notre gauche et à notre droite. Je suis assise à gauche dan à droite et ma soeur et l'amie sont entre nous deux.
Le film commence. Quelques deux heures et quart plus tard, il termine.
On se lève, on sort de la rangé vers la droite, dan à l'avant, moi en dernier. Mais tout juste avons nous un pas de fait que celui-ci s'arrête, se penche devant le banc de son voisin parti un peu plus tôt, et... se relève avec un sac de pop-corn à moitié entamé en main.
Nous sommes trois à le regarder avec un expression de dégoût teinté de surprise et d'amusement et d'impatiente attente de voir ce qu'il fera de ce sac. Attente bien vite comblé puisqu'il se prend aussitôt une poignée de pop-corn qu'il porte nonchalamment à sa bouche.
L'amie : Ark!
Dan : Bin quoi! Ils arrêtaient pas de m'en offrir. Pis ils étaient bin gelé en plus.
Il avance un peu et arrête voyant qu'on ne le suit pas. On le regarde toujours avec un face de dégoût pas vraiment rassuré de ses explications, il poursuit.
Dan : Ils m'en avaient offert deux ou trois fois durant le film, je leurs ai dit non. Plus tard le gars à mes côté a mis le sac par terre car ils n'en voulaient plus. Son ami lui a demandé pourquoi il ne me l'offrait pas. Il a répondu que je n'en voulais pas, mais sachant qu'ils le jetterais... je l'aurais accepté.
Nous trois : Ah!
Cette fois, l'amusement prend le dessus et nous (ma soeur, l'amie et moi) rions à pleine gorge lorsqu'on se décide enfin à quitter la salle. Daniel mange toujours son pop-corn comme si c'était réellement le sien. On lui demande s'il va tout le manger. On se moque de lui, on rit. Sans doute un peu tanné de nous voir se moquer ainsi, il en mange encore un peu et jette le reste à la sortie du Biermans.