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décembre 27, 2008

Tournoi de curling en fin de semaine. On est au club de Montréal Ouest. Il y a sur les glaces 4 statuettes de cochon, près de la ligne du cochon à chaque bout de la glace. Chaque cochon a un collier avec un médaillon sur lequel est écrit son nom. Le premier s'appelle Arnold, le deuxième wilbur, le troisième Babe, et le dernier... moment de suspense ..... PORKY !!!!

Oui ! J'ai trouvé une statue de Porky !

Je suis partie à rire pour absolument rien sur la glace quand j'ai vu ça. Puis après avoir chercher comment je pourrais la voler et l'apporté avec moi, (ahem..) je me suis dis que je pourrais plutôt essayer de le prendre en photo ... Mais encore là je vois pas comment je pourrai faire cela ^^ Au pire vous vous fierez à mes dire pour croire qu'il y a au club de Montréal Ouest une statuette de Porky !

Edit du 28 : On est maintenant à 2 victoires, une défaite, un nulle. On joue la demi-finale et la finale demain ! On espère gagner le tournoi, pour prendre des photos sur la glaces avec Porky, qui nous a porté chance jusqu'à maintenant.
Edit 2 : On oublie la photo. Y'en a pas eu. On était pas d'humeur à prendre des photos mettons...

décembre 09, 2008

ma mère en voyant ma photo dans le nouvelliste a d'abord cru qu'il s'agissait d'une équipe mixte. Elle a lu le titre qui disait les équipes Perron et Mil0t [blablabla] et a cru que j'étais un gars.

-_- '

Premièrement : LES ÉQUIPES.... ça dit assez clairement qu'on parle ici d'au moins 2 équipes.
Deuxièmement : Ok, en passant vite tu peux te permettre de ne pas me reconnaître, mais de la à me prendre pour un gars... Ah, puis, même en passant vite, t'es sensé me reconnaître bon !

novembre 15, 2008

Ce soir pour souper on se fait des crèpes, ma soeur, mon frère et moi. Ma soeur nous a sorti nos assiettes, ainsi que le beurre, mais elle a oublié le sirop d'érable et des ustensils. Je me lève, sort le sirop du frigidaire et remarque que... Il en reste peu ! En revenant m'asseoir, je me sors un couteau et une fourchette, sans penser à en sortir aussi à Dan.

Dan : Pis moi !?
Val : (Regarde désapointée la table) eee... J't'ai oublié...
Dan : (Me fait des gros yeux).
Val : Mais c'est parce qu'il ne reste plus beaucoup de sirop, alors je veux pas te le partager...
Dan : (Ne dis rien. Attend sa crèpe (Qui est en train de cuire) tout en me regardant faire.)
Val : (Essaie d'ouvrir le pot de sirop d'érable, mais n'y arrive pas. Risque un coup d'oeil en direction de Dan.)
Dan : Pense-y même pas.
Val : Shit !

novembre 12, 2008

Conversation nocturne

Je suis à l'ordi depuis 23h00. Ma soeur est aussi à l'ordi. (Les deux ordis se font faces.)

Moi : Aaaaah!!!!!! Y'é déjà minuit ! Fudge ! J'prévoyais me coucher plus tôt que ça moi ! (courte réflexion, puis regardant ma soeur) Ah, pis tu te lèves à la même heure que moi, puis t'es pas plus couché. Fak, je suis correct.
Ma soeur : Parce que t'attendais après moi pour aller te coucher ?
moi : Eee... Bah, ouais.
Ma soeur : ah..
Moi : T'attendais aussi après moi ?
Ma soeur : Oui...
Moi : Merde ! On est pas couché !
(Rires)

octobre 10, 2008

quelques (3) citations

« Tu es vraiment tout ce que je déteste, dit Adrien avec affection. Tu as de la chance que ce ne soit ni pour ce qu’ils disent ni pour ce qu’ils sont qu’on aime les gens »
Le gout du sel - (je ne me rappelle plus de l'auteur)


« Partout où il n’y a rien, lisez que je vous aime. »
Inconnu


« It’s good to be scared, it means you still have something to lose… Think about it when you think you’re losing everything. Life is a roller coaster… Deal with it! »
Inconnu aussi...

septembre 09, 2008

Avis au cégep de Trois-Rivières

Quand ton bureau est plus près du tableau que le prof l'est...

C'est peut-être que la classe est trop petite !
Ou bien qu'il y a trop d'élèves dans la classe !

Mais c'est pas censé arriver !

août 12, 2008

autofiction

Je suis déjà montée sur le toit de la maison simplement pour regarder la vue d'en haut. Je me souviens m'être approchée du bord, les pieds à demi dans le vide, m'être vue tomber... Mais ce n'était pas assez haut. Alors j'ai imaginé la maison plus grande, plus haute. J'ai eu le vertige et je me suis immédiatement reculée. Je suis descendue du toit en hâte, comme apeurée par un sentiment jusqu'alors inconnu et totalement indéfinissable.

Sitôt descendue, je me suis mise à courir. Je n'avais jamais autant couru. Jamais il ne me serait venu à l'esprit que je puisse avoir autant de souffle. Je ne savais pas où j'allais ni pourquoi je courais, mais je continuais. De toute évidence je fuyais quelque chose, mais quoi ?

Puis j'en ai eu assez. Je me suis arrêtée incapable d'aller plus loin ni de revenir sur mes pas, soudainement épuisée pas la longue course. Je restai figée durant un moment qui me sembla éternellement long et pourtant trop court. Incapable de bouger, de parler, de crier, je regardai la rage qui montait en moi pour devenir aussi immense que ce que ce que j'avais ressenti sur le toit. Je suis restée immobile au centre de la rue et j'ai attendu la prochaine voiture. Je ne saurais dire combien de temps je suis restée ainsi. Mais soudainement, un éclair est passé devant mes yeux et le vide est disparu, la rage aussi. Je me suis retournée et j'ai marché lentement, très lentement vers la maison. Je venais de gagner le plus difficile des combats.

Il ne restait plus rien. Sinon cette étrange impression que plus jamais je ne me retrouverais ainsi, à cheval entre la vie et la mort. J'avais fait mon choix. J'avais gagné.

juillet 27, 2008

Sur un site de jeu de simulation de campagne électorale (vpm) j'ai à écrire un "débat" à la fin de ma campagne. Pour ce débat on nous impose des mots. Habituellement on se contente de les placer dans un court texte de 5-6 phrases, mais aujourd'hui j'étais motivé et j'ai plutot écrit une histoire. J'ai donc décidé de vous copier-coller mon débat pour que vous puissiez profiter de ma belle histoire et de sa belle morale.

"Mes mots étant : tortue catamaran renard europe christ kroboy, j'ai décidé de vous écrire une fable qui je l'espère vous divertira. (je suis désolé pour la longeur du texte... Je ne m'attendais pas moi-même à composer une si longue histoire... Mais puisque j'avais du temps à perdre ce soir... (j'espère que vous en avez aussi maintenant, parce que c'est une très belle histoire ^^))

Voici l'histoire de l'élection du roi des animaux européens !

Le monde venait d'être créé, les plantes et les animaux avaient été savamment distribués dans les différents continents et chacun s'était trouvé un chez parmi ceux-ci, un animal particulier, un roi, qui représenterait le continent lors de la réunion annuelle des 5 continents. Tous avaient leur roi. L'Afrique avaient nommé le lion pour sa crinière qui lui conférait déjà l'apparence d'un roi. L'asie avait nommé le tigre après qu'il ait menacé de mort tous les autres candidats. L'amérique avait nommé l'aigle pour sa vue perçante et sa capacité à planer dans le ciel ainsi il dominait réellement le monde. L'océanie avait nommé le kangourou pour une raison ignorée de tous. Et finalement l'Antartique avait pour roi le manchot empereur, car le nom lui allait si bien. Bref, chaque continent avait son roi, tous sauf l'Europe qui n'avait pas réussi à trouver au soin de son territoire, un animal qui soit suppérieur aux autres.
On décida donc d'organiser un concours opposant tous les animaux européens. Plusieurs épreuves furent disputées, si bien qu'à la fin il ne restait plus en lice que le renard et la tortue.
Il ne restait plus qu'une seule épreuve qui trancherait en faveur de l'un et l'autre des candidats, il s'agissait d'une grande course à travers toute l'Europe. Le renard grâce à sa ruse avait réussi à prendre une confortable avance sur la tortue qui persévérait et marchait patiemment à travers la terre d'Europe. La tortue n'était pas inquiète car elle savait que la dernière étape de la course se passait en mer, et elle se disait bien que dans la mer elle pourrait vite rattrapper son retard sur le renard qui ne savait pas nager.
Le renard arriva bien assez tôt au bord de la mer. D'abord il eut peur et perdit un temps fou à se demander si les renards pouvaient nager. Après une journée passée à délibérer il se convaint qu'il n'y avait pas d'autre moyen de le savoir que d'essayer. Il sauta dans la mer et bougea ses pattes en tous les sens tel qu'il croyait qu'il fallait faire pour nager. Mais il remarqua bien assez tôt que ce n'était pas ainsi qu'il fallait faire et on dut s'y prendre à quatre pour allez le sortir de l'eau avant qu'il ne se noie. Le renard passa les trois journées suivantes à essayer de nager. Mais il n'y avait rien à y faire, il ne pouvait tout simplement pas nager. La quatrième journée, la tortue arriva et sauta dans la mer. Elle venait de prendre l'avance. L'Europe entière en était retournée.
Le renard peu fier de s'être ainsi fait distancer, décida d'user d'un peu de ruse et fit les schémas à même le sable d'une étrange construction qui pourrait selon lui, lui permettre de reprendre le dessus contre la tortue. Il travailla sans relache et au bout d'une journée complète il annonça que ses dessins était terminés, il avait fait plusieurs calculs et la construction pouvait maintenant commencer. Tous les scientifiques de l'Europe, et même ceux du monde entier, se penchèrent sur ses étranges plans, aucuns ne comprenaient ce que le renard avait en tête de construire.
Le renard pris une journée de plus pour terminer la construction de son "truc". Il l'emmena ensuite sur l'eau et à la surprise de tous les observateurs, le "truc" flottait. Le renard venait d'inventer le tout premier catamaran de l'histoire du monde. Grâce à son bateau il rattrapa en moins d'une journée l'avance de la tortue et à la nuit tombée ils étaient tout deux à égalité.
Durant la nuit une énorme tempête se leva. Le renard qui n'avait pas prévu cela, n'avait pas fait son catamaran assez haut et les vagues le propulsèrent en dehors du bateau, fort heureusement il échoua sur une île avant de se noyer. La tortue quand à elle se perdit dans l'immensité de l'océan.
L'orage qui sévissait empêcha ensuite quiconque de voir l'évolution de la course. Ainsi ils attendaient tous à la ligne d'arrivée, impatient de voir qui l'emporterait et serait courronné roi d'Europe.
Plusieurs jours s'écoulèrent et au dernier jour la tempête se calma. On vit aussitôt au loin une ombre flotter sur l'océan. Le vainqueur approchait enfin. Les uns prétendaient que c'était le renard qui s'était construit une seconde barque, les autres que c'était la tortue qui arrivait si vite qu'elle laissait tout un sillage derrière elle, qui était visible depuis la rive. L'ombre approcha et on reconnu le catamaran du renard. Tous les supporter de ce dernier commencer à festoyer, tandis que ceux qui s'était ranger derrière la tortue apréhendait leur défaire.
Le catamaran atteingnit finalement la rive. On se surprit d'abord du fait qu'il était en tout point identique au premier et on félicita l'adresse du renard qui avait pu construire une si semblable réplique. Puis, on se rendit compte que le bateau était vide, qu'il n'y avait aucun renard dedans. On compris que c'était le premier catamaran qui s'était rendu au fil des vagues et du vent, jusqu'à l'arrivé. On prit la décision d'attendre plus longtemps l'arrivé du renard où de la tortue, mais les journées passaient, puis les semaines et les mois, jamais on ne vit revenir le renard où la tortue.
Il fallait à tout pris avoir un roi pour l'europe. Les personnages les plus influents du monde recherchait une solution. On eut d'abord l'idée de donner la couronne à celui qui s'était rendu le plus loin dans la course, mais aucun ne pouvait savoir avec certitude jusqu'où c'était rendu les candidats.
Pendant ce temps le catamaran était devenu une attraction touristique très achalandé en europe. Ainsi il y avait toujours des animaux qui se promenaient autour le jour et venait le regarder et y toucher avant de repartir. La nuit le site était fermé et personne ne pouvait approcher le catamaran. Un soir un imprudent petit ourson décida de rester durant la nuit. Il se cacha à l'intérieur même du bateau et réussi à ne pas se faire voir des gardes. Dix minutes ne s'étaient même pas écoulées depuis la fermeture du site qu'il vit une minuscule petite souris sortir d'un coin du catamaran. L'ourson eut peur et courut avertir les gardes.
On questionna la souris longuement puis on constata qu'elle habitait le catamaran depuis la construction de celui-ci. Le renard avait emmené une famille de souris pour s'assurer des repas durant son voyage. La souris, qui était alors un souriceau, était trop jeune pour avoir connu la tenue du concours. Elle était resté caché dans le bateau tout ce temps par peur du passage trop important d'animaux de toutes sortes devant ce dernier.
Après quelques temps de délibération, on décida que c'était bel et bien la souris qui avait franchi la dernière étape du plus grand concours de tout les temps et on la nomma sur le champs que c'était la gagnante.
C'est ainsi que contre toute attente la minuscule souris dont tous s'était moqué fut nommé reine d'Europe.
Tous les animaux d'Europe furent fiers de leur reine, et pendant longtemps l'Europe, grâce à la souris leur reine, domina les autres continents.

MORALE :Ne vous fiez pas aux apparences, les plus grands, plus rusés, plus rapides ou plus forts ne sont pas toujours les meilleurs. Ceux qui paraissaient petits et sans défenses peuvent s'avérer les meilleurs.
Tel l'Europe qui fut agréablement surprise par leur reine, laissez-vous surprendre à votre tour, et voyez à quel point Vam peut aider Brest.
N'écoutez point les fausses prommesses de Christ et Kroboy. Ne vous fiez pas à leur apparente beautée, car si vous pouviez voir leur coeur, vous verriez qu'il est aussi noir que le noir peut l'être. "

juillet 01, 2008

Elle et lui

Elle déjeunait toujours à la maison. Ce matin elle avait décidé de changer et d'aller au petit resto du coin. Elle s'assit à la terrasse. C'est là qu'elle le vit. Il courrait. Elle se rappelait qu'il courait toujours le matin. Elle se souvenait de son souffle saccadé et de son corps chaud d'avoir tant couru. Elle se revit dans ses bras, si accueillants, si grands, si forts. Elle aurait voulu lui parler, le saluer, lui dire à quel point il était beau, mais elle l'avait regardé passer et lui avait fait un signe de tête comme quoi elle le reconnaissait. Il avait sourit, ses lèvres s'étaient entrouvertes et ses yeux pétillaient. Il respirait la joie. Elle aurait voulu lui sauter dans les bras, l'embrasser, lui souffler "je t'aime" dans le creux de l'oreille, mais elle n'en fit rien.

À tous les matins il courrait jusqu'à la rivière et revenait, il empruntait toujours les mêmes chemins. Ce matin, pour aucune raison précise, il avait décider de changer son trajet. Il avait tourné à droite, vers le centre-ville. C'est là qu'il la vit. Elle était assise à un petit café qu'il n'avait jamais remarqué auparavant. Il aurait voulu s'asseoir à sa table, la regarder sans rien dire, se souvenir à quel point ils étaient bien ensemble. Il aurait voulu lui prendre la main et l'inviter à danser comme la première fois. Il ne vit pas son hochement de tête, mais souriait à se remémorer cette première rencontre et toutes celles qui avaient suivies. Elle avait un air paisible et semblait heureuse. Il n'osa pas s'approcher de peur de troubler son bonheur.

Elle se leva, régla l'addition et partit. Il continua sa route.

mai 18, 2008

Charlotte 4 ans en parlant de sa soeur de 1 an :
"Eille dans 3 ans là... Elle va encore être plus jeune que moi!"
Je pense : "Wow.. ça c'est de la perspicacité...", mais je lui dit : "oui t'as raison.. t'es bonne!" tout en regardant Daniel d'un air amusé.

Plus tard.

Son frère Émile (8 ans??), tout en lançant un ballon dans les airs : "Celui qui l'attrape là... [pause, cherche ses mots] ... Bin... il l'a...!"
Dan et moi : "Wow... De mieux en mieux..."


*** Note pour Dan : Si ton commentaire a pour but de réviser l'exactitude de mes propos, abstiens toi d'en faire.

avril 17, 2008

Dans le local de psycho, 5 minutes avant que le cours commence.

Lui : Eille, tu viens-tu de Nicolet ?
Elle : Oui, pourquoi ?
Lui : Tu restais près des terrains de tennis ?
Elle : Oui, ma mère reste là ?
Lui : Attends (Il se penche et prends quelque chose dans son sac. Il montre une photo à la fille.)
Lui : Ce serait pas toi ?
Elle : En ?? Mais oui ! Qu'est-ce que je fais là ? (Elle le regarde d'un oeil intrigué et surpris, l'air de se demander si elle se souvient l'avoir déjà vu.)
Lui : Tu me disais de quoi. J'ai regarder dans mes vieilles photos et j'ai trouvé celle-là. J'ai demandé à ma mère qui c'était sur la photo et elle m'a dit que c'était une fille qui habitait près des terrains de tennis. Sinon, je ne me souviens vraiment de cette photo.
Elle : (Encore sous l'effet de la surprise, le regarde) Je ne me souviens vraiment pas de t'avoir déjà vu...

avril 16, 2008

Citations provenant de "Le fou d'Omar"

" Aucun livre ne donne, une fois pour toutes et pour toujours, le sens de la vie comme cadeau impérissable. Pas plus à celui qui l'a écrit qu'à celui qui l'a lu. Un livre peut aider momentannément à y voir plus clair, mais une fois le livre refermé, tout s'estompe. Avec le temps, les émotions, les sentiments, la prise de conscience, la saisie de l'univers, tout se volatilise. On revient presque à zéro. [...] Peut-être qu'à mon insu ces écrivains ont eu sur moi une influence à long terme et très tamisée, comme disait Jean-Paul Sartre. Alors, quand un de mes lecteurs me dit : " Je viens de finir votre livre et je suis bouleversé", je souris parce que je sais que ça lui passera [...]. "

" C'est à ce moment que j'ai senti le sens profond du malheur, de l'injustice divine, de l'irréparable. J'ai senti que la vie ne valait pas la peine de tant d'efforts puisque, à n'importe quel moment et sans qu'on s'y attende, chacun de nous peut être englouti de cette manière et se retrouver à plat ventre, loque humaine"

" Être original, c'est peut-être juste être à l'origine de sa propre vie. Pas à la remorque des autres, pas suiveux, comme on dit par chez nous. [...] De tout temps, il y a eu des originaux et des suiveux, mais, ce que je ne sais pas, c'est ce qui fait qu'on choisisse une talle plutôt qu'une autre... Est-ce qu'on choisit vraiment ?"

" Qu'est-ce qui pour chacun de nous est inévitable ? a demandé un grand sage hindou à ses élèves. Depuis une quinzaine d'années, je pose cette question à droite et à gauche, quand ça adonne, et, sur les centaines de réponses que j'ai eues, une seule était la bonne : le bonheur"

" Et quelle est la grande merveille ?... Chaque jour la mort frappe autour de nous, et nous vivons comme des vivants immortels. Voilà la grande merveille."
"Le fou d'omar" d'Abla Farhoud.

Un livre que je viens de terminer qui est vraiment bon et méritait que j'en parle.

C'est l'histoire d'une famille libanaise venu se réfugié à Montréal. L'aîné devient fou, et on voit à travers quatre personnes différentes (Le fou, son frère, son père et le voisin) comment ils vivent tout cela. On voit à quel point la maladie de un les touche tous les uns comme les autres. C'est super bien conté. C'est touchant. Une sitation du résumé à l'endo du livre : "Abla Farhoud plonge au coeur des être pour en révéler les failles secrètes, les blessures jamais guéries et l'immense solitude à laquelle chaque indijvidu tente d'échapper dans sa quête d'identité et sa recherche du bonheur." Tout ça à partir du thème de la maladie mentale et de l'aliénation qu'elle entraîne chez le reste de la famille. Ce livre est vraiment fantastique.

février 20, 2008

Il n'y a pas grand chose a comprendre ici.

FUUUUuuuuUUUUuuuUUU!!!!

janvier 30, 2008

La semaine passé quelqu'un se promenait de table en table à la cafétéria du cégep de Trois-Rivières pour faire signer une pétition de la plus haute importance par le plus de personnes possible.

Quel était le message, le but ultime de cette pétition?

Et bien, vous aurez sûrement un choc énorme d'apprendre cela, je sais que je vais vous causez bien de soucis, des maux de tête, ainsi qu'un stress intense et interminable. La triste vérité qui est révélée par cette pétition est des plus inquiétante. Vous sentirez immédiatement le besoin d'agir contre des diffamations de ce genre. Malheureusement, à l'heure où vous lirez ceci, il est trop tard pour agir. La pétition suit son chemin vers une étape future. Vous ne pourrez pas adhérer à cette pétition, malgré son importance capitale.

Malgré ces mises en garde vous voulez toujours savoir de quoi il s'agit?

Et bien assoyez vous bien. Respirez un grand coup et lisez plus bas.


Encore plus bas.


Le maire de Trois-Rivières nous ment! Et le mensonge est énorme. La population entière est touchée par ce mensonge horrible.

Le sapin de Noël qui était sensé concurencer celui de New-York. Celui dont le maire lui-même a tant parlé, celui qu'il a vanté, célébré et que tous a admiré fièrement, sentant pour la première fois que Trois-Rivières pouvait être capable de grande chose était en fait une épinette.

Quelle déception. Nous avons été mené en bateau. Fier de copier avec honneur une grande ville américaine. Nous nous retrouvons avec un épinette au lieu d'un sapin. Nous avons fêté Noël sous l'oeil fourbe d'un épinette! Arbre de mensonge, il ne mérite que le mépris. Banissons cet arbre de toutes fête de Noël. Un épinette n'est pas un sapin. L'heure est grave.

Nous refusons de nous faire avoir de la sorte une seconde fois. Fêter tout Noël sans jamais se rendre compte de rien, puis apprendre après coup que nous avons délaissé le sapin, désigné depuis si longtemps à cette tâche. Il a dû se sentir trahi. Lui qui nous a servi si longtemps.

Heureusement la pétition demande le juste retour des choses. C'est-à-dire, la présence d'un vrai sapin à Noël prochain. Ce sera un sapin ou rien du tout!

Fini la trahison, fini les mensonges, le maire n'aura plus le choix à l'avenir de nous dire la vérité, et ce sur tous les sujets. Car ce cas prouve hors de tout doute que la population est prête à s'insurger contre toutes sorte d'injustices.


Non mais sérieusement, que fera la population de Trois-Rivières lorsque des cas de plus grandes importances se présenteront ?

Rien! Ils auront leurs claques des pétitions!